Depuis le drame de Charlie hebdo
Le dossier s’ouvre sur un article de Pierre Siankowski intitulé « Peut-on rire de tout ? » et paru dans la revu Label France en 2004. L’auteur s’interroge sur le contexte et les modalités du rire. Le second document est un entretien de Gaspard Proust réalisé par J-G Fredet paru dans le Nouvel Observateur du 14 Avril 2010.L’humoriste à pour but de faire réagir et ce quelles qu’en soient les limites. C’est un article publié dans Valeur actuelles le 20 Janvier 2015 qui constitue le troisième document. L’auteur, Chantal Delsol propose un définition de la liberté de pensée. Le dossier se clôt sur quatre dessins dont deux font la unes de Charlie Hebdo et les deux autres signé Plantu. Les caricaturistes, Riss, Charb et Plantu pratique un humour décalé tout en évoquant des sujets différents.
En quoi le thème abordé s’avère-t-il essentiel ?
Afin d’apporter quelques éléments de réponses deux axes seront abordés : Une législation qui laisse toute sa liberté à l’humour et l’art et la manière de faire rire.
L’ensemble du dossier évoque bien le fait qu’en France la législation laisse toute sa liberté à l’humour, et que la liberté d’expression est un droit bien ancrés dans notre société.
L’article Chantal Delsol montre qu’après le drame de Charlie Hebdo les français se sont rattachés à leur liberté d’expression. Cette liberté est individuelle chacun est libre de penser comme il veut, c’est l’héritage qu’a laissé les penseurs des Lumières aux français. Ainsi depuis le XVIIIème siècle la liberté d’expression est une liberté fondamentale dans l’esprit des français. Dans le premier document Pierre Siankowski évoque bien le fait que la législation française « est plutôt tolérante vis-à-vis de l’humour » car fait partie intégrante de la liberté d’expression. Malgré cela la liberté d’expression passant par le rire n’est possible que par le fait d’être drôle et