Ève Boudreault-Girard(1445332)
L’Être humain
Philippe Bélanger gr : 0002
Date de remise : Vendredi, 2 octobre 2015

Le transhumanisme

Depuis longtemps, l’homme se considère comme « maitre et possesseur de la nature ». Réalisant son potentiel et sa puissance, l’homme de la modernité vit le progrès en lui-même, comme étant une valeur sans limites. Pourquoi ne pas consommer l’offre des sciences et des technologies qui nous sont offert tant que nous ne causons de mal à personne ? Pourquoi ne pas améliorer le corps et l’esprit de l’être humain réalisant ainsi les fantasmes de chacun, par exemple celui de devenir immortel ? Des courants de pensée tel que le tranhumanisme et l’annonce de l’arrivé d’un posthumain officiellement née en 1998, constitue le symptôme d’une mise en crise des idéaux modernistes1. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine indésirables (handicaps, maladies, vieillissement, mort, etc.) et trouve dans le transhumanisme un moyen d’y mettre fin. Pour modifié le corps ils s’appuient sur différentes sciences et techniques spécifique tel que la nanotechnologie, la biotechnologie, les sciences cognitives, l’intelligence artificielles, etc. Après une réaction d’incertitude en faveur de cette idéologie futuriste qui prévoit gratifier la montée d'une humanité perfectionné par la modification technologique du corps et de l’esprit humain, les principales positions du transhumanisme sont considérées comme devant être discutées. Après mure réflexion, la rationalité à remporter sur les rêves que nous offre la science. L’homme moderne apprend que sa volonté de transformer le monde et de se restructurer lui-même, est possiblement imprudente et néfaste.
Si des modifications sont apportés au corps humain à un point tel ou il ne serait plus lui-même, le risque de perdre notre humanité à des fins de satisfaction personnel devient probant. Le concept du tranhumanisme laisse transparaître qu’il veut abandonner l’homme dans ce qu’il est,