DEVOIR N°2

Questions :

1) Toutes ces répétitions mettent en place un comique de répétition et un comique de situation. Dans ce dialogue les répliques de Dupont, Durand et Martin sont les mêmes, ou on le même sens. Chacun cherche à avoir le mot de la fin, c’est un dialogue de sourd. Personne ne s’écoute parler, tout le monde se coupe la parole. Comme on peut le voir vers 13 à 25.
« Dupont (à la Jolie Dame) : Chère amie, dites à ces messieurs que vous êtes ma fiancée.
Martin (à Dupont) : Vous faites erreur, c’est ma fiancée.
Durand (à la Jolie Dame) : Chère amie, dites à ces messieurs que vous êtes bien…
[…] Martin (à la Dame) : Chère amie, veuillez dire que…
Durand (à Dupont) : Vous faites erreur, c’est la mienne.
Dupont (à la Jolie Dame, la tirant violemment à lui par le bras) : Oh, chère amie… »
On trouve un côté absurde à cette situation dans la manière qu’ont les hommes pour tenter de gagner le cœur de la Jolie Dame. Par leurs actes et leurs dires assez maladroits, ils pensent monter dans l’estime de cette femme, or leur comportement à l’effet inverse.

2) On apprend au sujet de la Jolie Dame, vers 11 « La Jolie Dame reste debout souriante ». Malgré la dispute qui éclate devant ses yeux, elle reste calme et souriante, elle ne perd pas son sang froid. Après un bon nombre de répliques et de répétitions pour savoir qui est le fiancé de la Jolie Dame, la dispute prend un nouveau tournant. Vers 25 et 26 « Dupont (à la Jolie Dame, la tirant violemment à lui par le bras) : […] La Jolie Dame perd son soulier. » Son acte à la limite de la violence est reproduit immédiatement par Durand, qui se montre jaloux. Vers 27 « Durand : (tirant violemment la Dame par l’autre bras) […] La Dame perd son soulier, tandis qu’un gant reste entre les mains de Dupont. ». S’en suit la tentative de Martin pour se mettre en avant, vers 30 et 31 « Martin (qui était allé prendre un pot de fleurs, fait tourner la Dame vers lui) : Acceptez ce bouquet.
Il lui met le pot de fleurs entre les