Devoit de philosophie
- Le mot travail est issu du verbe latin « tripaliare » qui lui signifie « torturer » avec un tripalium. L'étymologie de ce mot nous laisse penser qu'il s'agit d'une activité pénible et ennuyante. Le tripalium désigne un effroyable instrument de torture. Le travail est donc une activité douloureuse à laquelle nous serions condamnés. Celui ci n'est pas considéré comme une chose dites « appréciable ». On y est contraint. Le problème majeure est que ce n'est pas pour nous que nous allons travailler. C'est pour cela que le travail est considéré comme une fatalité. Le travail serait-il un fardeau pesant énormément sur le moral de l'homme ? Ou alors bien au contraire celui ci ne serait-il pas une chance pour lui , car l'homme pourrait s'évader et se faire plaisir grâce à ce travail ? Dans un premier temps nous tenterons d'expliquer si le travail est réellement une malédiction, avec les pour et les contre et dans une seconde partie nous parlons du texte de Nietzsche sur la glorification du travail
- Le travail serait-il une malédiction? En tout les cas c'est ce qu'affirme le 3ème chapitre du livre de la Genèse. Après qu'Adam goutta au fruit défendu, la pomme, dieu se retourna vers lui et dit « à force de tes peines tu en tirera subsistance tous les jours de ta vie ». C'est à la sueur de son front que l'homme devra travailler. C'est grâce a cette phrase que l'ont comprend que tout ne sera pas rose et que l'être humain n'aura rien sans rien. « à la sueur de son front » nous montre que ce travail relève d'être un dur labeur. D'après la Genèse le travail est relié à une malédiction. Il est défini ainsi suite à une faute qu'à commis Adam, il a manger le fruit de l'arbre défendu. On en déduit que si Adam n'avait pas écouter Eve qui est sa femme, il n'aurait pas eu besoin de travailler durement pour pouvoir subvenir à ses besoins. Ce travail est donc tombé comme une malédiction, et Adam doit faire face à cette punition que dieu lui