Discours de victor hugo à l'assemblée nationale (1849)
La misère est l’un des nombreux combats de Victor Hugo.Ce texte est délimiter en trois mouvement:et le troisième est un appel à la révolte contre la misère.Le premier montre la détermination de Victor Hugo a détruire la misère: L’auteur commence avec un parallélisme qui permet de faire une concession entre toute les souffrance et la misère ( sous entendu que la misère n’est rien comparé a toute la souffrance dans le monde): « je ne suis pas de ceux qui pensent qu’on peut détruire la souffrance, mais je suis de ceux qui affirment qu’on peut détruire la misère ».Victor Hugo continu avec une accumulation de verbe « je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire », ce qui crée un suspen sur ce qu’il souhaite vraiment dire « je dis détruire ».« La misère peut disparaître comme la lèpre a disparu », cette comparaison entre la lèpre et la misère nous fait penser que la misère est une maladie qui peut être soigné, qui peut disparaitre, si toutefois on se donne les moyens …afficher plus de contenu…
« ou des créatures s’enfouissent toutes vivantes pour échapper au froid de l’hiver », nous ne comprenons pas si il parle vraiment de créatures, d’animaux ou bien d’hommes trop miséreux pour vivre autre pars.L’auteur poursuit avec un deuxième exemple, après une question réthorique ayant pour but de recaptiver l’attention des auditeurs « voila donc un fait. En voulez vous