Discours sur la circonscription des organes après la mort devrait-elle être obligatoire ?
Les médecins leurs ont alors parlé du don d’organes. Ils ne l’avaient jamais évoqué auparavant pour leurs enfants. Cependant, ils acceptèrent et grâce à leur geste, un cœur et deux reins ont étés greffés à trois autres enfants. Le don d’organes leur a permis de donner un peu de ses à ce décès cruel et injuste. Dans l’année de 2019 en France, seules 5901 greffes ont eu lieues alors que 26 116 personnes sont restées en attente d’une greffe. Ces chiffres nous montrent donc qu’actuellement, la quantité de dons d’organes est bien inférieure à la quantité nécessaire. Effectivement, en France, 500 personnes par an meurent par faute de greffe …afficher plus de contenu…
Je crois qu’i faut prioritiser les besoins vitaux des vivants sur les souhaits des morts ou de leurs familles. Mes opposants vous diront que la conscription d’organes peut aller à l’encontre des croyances religieuses ou spirituelles de la famille du défunt. Cependant, les représentants du catholicisme, du judaïsme et de l’islamisme sont clairs : ils sont tous en faveur du don d’organes. Pour eux, la vie humaine est considérée comme primordiale. De plus, lors de l’opération chirurgicale du prélèvement, les médecins sont tenus d’opérer avec la même précision et application que sur un patient vivant prélèvent les organes avec la même précision et application que sur une opération d’une personne