Discourt de la servitude volontaire
Plaidoyer pour liberté contre esclavage et tyrannie Riche rhétorique, ironie, tragique Ligne 115 : Situation misérable évoquée L1 Ton violent, oratoire adresse avec virulence au peuple « Pauvre gens et misérablespeuple et nations » : destinataire vaste Jeux mal/bien révèle la responsabilité du peuple : volonté à ne pas arrêter le mal. « misère, dérision, aveuglement » Amplification L24 Les hommes soumis sont fous, aveugle à la tyrannie Description du mal qui frappe le peuple, exemples Les encourage à se rebeller : crescendo « revenu/champ /maison/meubles » L56 « Vous » « se laisser enlever » : passivité La responsabilité du peuple est évidente car ils n’agissent pas. Polémique : utiliser la tonalite de l’indignation pour faire réagir. Ironie car montre le degré d’abaissement dans lequel est tombé le peuple qui trouve un gd bonheur à se faire spolier : Antiphrase Groupe ternaire crescendo L7 Ruine : perte de bien/Malheur : souffrance morale} Intention didactique Structure antithétique « non pas, mais » Adverbes de certitude Rythme ternaire qui s’amplifie (nombre de syllabes diminuent) Ennemi crée par le peuple Tragique : l’ennemi est celui pour lequel on se bat. L1112 Adjectif démonstratif « ce maitre » :flou Ton péremptoire : énoncer de manière brutale comme vérité absolue
Tyran :Humain, pas exceptionnel, seul parmi d’autre ,effet de multiplication qui vise à minimiser la valeur du tyran :Cherche à mettre en lumière la solitude du tyran :Souligne la responsabilité du peuple L1314 Peuple est son propre bourreau « ce » didactique Reprises anaphoriques Répétition « détruire » Ligne 1531 : Prise à parti du peuple, développement des causes de l’assujettissement L1521 Prend à parti : questions oratoires Argus : chiens aux 200 yeux symbole de l’espionnage, victime surveillance, délation ; exaction Dénonce caractère absurde de la complicité : traitre a luimême L21 Etrange car principale