Disporpotion de l'Homme
Cette pensée est écrite en 1656 et publiée à titre posthume. Pascal évoque ce qu'il considère être la condition de l'homme dans l'univers, et l'impossibilité de comprendre ce qui l'entoure s'il n'admet pas le rôle de Dieu. L'homme qui cherche à tout connaître, tout savoir, l'auteur tend à lui démontrer les limites de sa raison. Pour lui, la pensée humaine est incapable de rendre compte de la complexité du monde. Toutes ces choses qui nous dépassent ne peuvent être expliquées que par la présence d'une intelligence organisatrice qui permet de former des choses grandioses qui échappent à notre raison (la voute stellaire).
L'auteur émet des hypothèses ; soit les connaissances de l'homme sont fausses et le monde dans lequel nous vivons est dépourvu de raison, soit les connaissances naturelles de l'homme sont véritables et dignes d'intérêt.
Pascal construit son raisonnement en plusieurs parties : tout d'abord, il semble énoncer l'idée directrice de sa thèse, qu'il va étayer par la suite par de très nombreuses thématiques. Il évoque premièrement ce que l'homme peut percevoir, il s'appuie sur des exemples très simples comme la voute stellaire dont la taille et la complexité dépasse l'homme et tend à nous faire admettre notre incompréhension et les limites de notre savoir. Ces réalités naturelles vont êtré évoquées tout le long de son argumentation pour conférer une validité irréprochable à ses dires puis qu'étayer par des vérités irrévocables. Les récentes découvertes de ses contemporains scientifique, microscope et longue vue vont lui permettre d'énoncer des notions d'infiniment grand et infiniment petit. Ces infinités montre à l'homme ce qu'il est en réalité comparer à Dieu. Il invite le lecteur à se mettre en situation et lever les yeux aux ciel. A cette illustration de l'infini ment grand succède l'idée de l'infini ment petit et pourtant si « complet »si l'on puis dire avec l'exemple du petit animal. D'un extrême à l'autre la finesse,