Le jour, d’une destinée.

Cela faisait déjà onze ans que l’Allemagne était divisé en deux parties, de notre côté, à l’Ouest c’étais la République fédéral Allemande des Américains où moi tous les matins, en vacances j’aidais ma mère aux tâches ménagères, je l’accompagnais faire les courses… Et de l’autre côté c’était la République Démocratique Allemande de l’URSS, mon père y avait ouvert son cabinet médical depuis quinze ans, alors tous les matins il rejoignait son cabinet pour travailler et rentrait très tard le soir depuis deux semaines.

Le matin du 13 février 1961, ma mère et moi, en observant que mon père n’était pas rentré, nous commencions à nous inquiéter sérieusement, on sortit de la maison, dehors c’était le chaos, on entendait des pleurs, des cris de désespoir, je m’en rappelle comme si c’était hier, je me souviens d’une femme qui passait devant complètement accabler en criant qu’elle avait perdu son fils et son mari. Je regardai ma mère et me suis mise à pleurer ma mère était de même triste. On rentra chez nous dans dire un mot. Pendant le même jour on su et on parti voir le mur qui nous séparait, tellement de personnes en était écœurer, j’essayais d’imaginer l’image de mon père, tout seul et dans la parti de Staline en plus. Je trouvai cela ignoble pendant plusieurs semaines je pleurais tout les jours, on entendait beaucoup de rumeurs circuler, énormément de personnes voulant traverser le mur passait dans des endroits improbables comme les égouts mais la majorité se sont fait tuer. J’espérais a chaque instants que mon père respectait toute les lois car sinon il se serait fait tuer.

Les années devenaient de plus en plus difficile je ne grandissais qu’avec l’attention que me portait ma mère et avec l’idée que mon père était soit mort, soit malheureux. Un matin, je me préparai pour aider ma mère a faire les courses, je l’appelai, mais sans réponse, alors