Dissertation philosophique sur socrate
Aujourd’hui, au Canada, il est interdit de causer la mort d’une personne. La peine de mort n’est plus autorisée dans aucune ville. Certains endroits utilisent toujours ce châtiment et donc la majorité des habitants pensent que celui-ci est requis pour vivre dans une communauté respectable. Durant la démocratie athénienne, environ de 507 à 250 avant Jésus-Christ, la condamnation à mort était permise aussi. Socrate fut un des nombreux à se faire exécuter. Aurait-il dû être plus conciliant durant son procès pour sauver sa vie? Il ne l’a pas fait, mais il aurait dû. La vie qui nous est attribué est la seule chose qu’on ait et qui nous fait être. Nous avons tous des principes et des croyances non semblables nécessairement à tous et certains seront prêts à laisser leur vie pour ne pas compromettre leurs valeurs.
D’une part, la vie vaut la peine d’être vécu et en situation de danger, dans la majorité des cas, chaque être vivant ferait tout ce qu’il peut pour survivre. C’est un phénomène qu’on appelle « l’instinct de survie ». Celui-ci provoque des réactions involontaires en but d’échapper à la mort. Dans certaines situations, l’être humain peut réagir en animal et faire la première chose possible sans même prendre une seconde pour réfléchir. C’est comme un devoir de tout faire pour protéger sa vie jusqu’au bout. Il y a même des gens qui seront prêt à mettre en danger la vie des autres ou, pire encore, causer la mort pour ne pas y laisser leur peau. D’autres part, lorsqu’une personne meurt, elle perd tout ce qu’elle a et tout ce qu’elle est, donc elle ne peut plus rien apporter de bon à personne. Ce sont les proches qui en souffriront. La mort peut survenir de différentes façons et peut importe la raison de celle-ci, elle sera causée soit naturellement, involontairement ou volontairement. S’enlever la vie est probablement moins grave que d’en priver celle de quelqu’un d’autre, mais ce n’est pas en disparaissant qu’on peut délivrer