Dissertation choc culturel
Le fait de ne pas ou presque pas parler français, procure à Paola une difficulté supplémentaire pour se trouver un travail. Son adaptation a été très tranquille et sa crise minime à cause de facteurs d’influence qui ont rendu son ajustement beaucoup plus facile. Paola nous confirme qu’elle a eu des hauts et des bas pendant son ajustement à sa nouvelle culture mais que finalement, il lui a été sensiblement facile de s’y adapter. Elle nous raconte que maintenant, elle se considère non pas comme immigrante mais comme québécoise ce qui montre son atteinte du stade final du choc culturel: l’aisance biculturelle. Avec les nombreuses années passées au Québec (25 ans), la fondation d’une famille et les stratégies d’adaptation utilisées, Paola a développé un sentiment d’appartenance à son nouveau pays et elle nous confie qu’elle serait davantage déboussolée en rentrant dans son pays …afficher plus de contenu…
Elle a pris des cours de français pour apprendre la langue qui était un des facteurs le plus difficile dans son intégration. En apprenant la langue de la région, elle a pu mieux communiquer avec les personnes et se trouver un travail. Trouver son premier travail, qui fut d’aider des personnes âgées dans une résidence, fut une grande étape qui l’aida énormément a rapetisser l’écart qu’elle avait avec sa nouvelle culture. Elle a eu une ouverture d’esprit incroyable quant à cette culture étrangère ce qui lui a permis de s’y intéresser et donc d’y développer un intérêt. De plus, le fait de s’être fait des amis et des collègues a vraiment favoriser l’adaptation de Paola au Québec. De pouvoir avoir des personnes sur qui compter et, par le fait même, ne pas se sentir seule a été très bénéfique pour