Dissertation sur don juan
:61,
m note dans sa conclusion. op. cit., p. 268 : « Je donnerais
"'lotre Dame - et la Colonne par-dessus le marché - pour ..,.
: maison faite ama guise quej'occuperais seul, au centre~ d:are, o\lj'aurais de l"eau, de l'ombre, de la pelouse et du~ lA--dedans une statue, ce ne serait ni un Jupiter, ni un .1 sieurs ; ni des vues de Londres, de Rome, de Constanti ve d'y demeurcr ! J'y menrais ce qui manque : la
1Cvres, des …afficher plus de contenu…
Dans le cante, l'enfant guérit mais « don
García a le diable au corps depuis ce temps-lá » (p. 677) et il devient le penchant démoniaque de don Juan a partir de leur rencontre a
Salamanque.
Les aventures vécues par don Juan pendan! sa période de libertinage divergen! aussi par rapport au mythe littéraire (car le don Juan de Mérimée voyage beaucoup), mais elles ne constituent pas l'essentiel de l'histoire.
A notre avis, le fait le plus intéressant est le retour de don Juan a Séville, c'est-.i.-dire, au monde de son enfance: c'est 1.i qu'il compte réaliser son plus gros coup d'audace, l'enlévement d'une religieuse. Mais il ne sait pas que le retour a la maison familiale de Séville va faire remonter dans son far intérieur les enseignements re~us de la part de ses parents, …afficher plus de contenu…
719), en plus
« les plis longs et roides des robes et des manteaux semblaient aussi immobiles que les vetements de marbre des statues » (p. 719), précision o\J nous voyons un glissement de la peinture vers la sculpture de la part de notre écrivain. Aux multiples métamorphoses du fixe et de l'animé que l'on trouve tout au long du texte, il faut ajouter maintenant la pétrification du vivan!, qui substitue á la peinture la sculpture. Don Juan demande á une de ces« figures »13 quelle est la personne qu'on va enterrer et un pénitent lui répond : « C'est le comte don Juan de Maraña » (p. 719), effaré don Juan pose la méme question a un autre pénitent tout en pensant qu'il a mal entendu, mais il re~oit la méme réponse. Cette page s'impose