Cette troisième partie traitera de la position désavantageuse du poète. nous pouvons déjà voir dans les deux premiers vers du premier tercet que les poètes admirent les “grandes attitudes” de la beauté, mais on sens une certaine ironie dans cette phrase, comme si la beauté suggérait que ces attitudes sont pour elle normale, et donc qu’elle est admirée par les poètes sans faire le moindre effort pour cela. L’utilisation de l’expression “avoir l’air de” suivie verbe “emprunter” dans la proposition suivante renforce cette impression, et le fait que c’est attitudes soient prises “aux plus fiers monuments” poursuit cette idée encore plus loin: la beauté, sans le moindre effort égale les plus grandes œuvres de l’humanité.Dans le dernier vers du premier tercet, l’utilisation du verbe “consumer” évoque une perte rapide, fiévreuse du temps des poètes, qui gaspillent tant de temps pour obtenir non pas la beauté, mais “d’austères études”, le simple mot “étude” n’évoquant pas suffisamment le côté ennuyeux du produit du travail des poètes, de qui il ne restera que de la cendre. …afficher plus de contenu…

les poètes y sont décrits comme “fascinés” et “dociles”, donc entièrement soumis à la beauté, mais leur comparaison métaphorique avec des “amants” induit qu’il sont tout de même très proche de la beauté, ce qui doit être d’ailleurs leur plus grande souffrance: ils sont condamnés a voir la beauté, à pouvoir l’admirer sans jamais être capable une seule fois dans leur vie de la décrire. Ce qui permet à la beauté de fasciner les poètes sont ses yeux, et l’adjectif “larges” ainsi que l’utilisation une deuxième fois du mot “yeux” fait penser à de