Je m’appelle Robinson, je vous écris cette lettre, car la galiote hollandaise sur laquelle je naviguais nommé «La Virginie» pour découvrir l’Amérique du Sud et organiser des échanges commerciaux a naufragé. Cet évènement s’est produit le 29 février 1759 avec mon équipage. Malheureusement, je suis le seul survivant d’entre eux. Je suis donc retenue sur une gigantesque île déserte que je crois qui se situe près de l’archipel Juan Fernandez à six cents kilomètres environ au large des côtes du Chili. Cette île déserte comprend une grande forêt, beaucoup d’arbres, de falaises rocheuses, de mouettes noires et blanches puis quelques animaux sauvages comme le bouc au poil très long. Je me nourris au hasard de coquillage, de racines de fougères, noix de coco, de baies, d’œufs, d’oiseaux et de tortues. J’ai essayé de construire un bateau pour m’évader de cette île. J’ai aussi essayé de faire un signal visuel en faisant un feu dans un gros tronc d’eucalyptus visible à des kilomètres au cas où un bateau ne s’amènerait pas loin des côtes de l’île. Toutes ces tentatives n’ont tristement pas fonctionnées. Je vous demande alors s'il vous plait de venir me chercher. Je souhaiterais juste pouvoir revoir ma femme et mes deux enfants que j’ai laissés à York en Angleterre. J’espère que vous viendrez me sauver, car je vous en serai d’une extrême reconnaissance.Je m’appelle Robinson, je vous écris cette lettre, car la galiote hollandaise sur laquelle je naviguais nommé «La Virginie» pour découvrir l’Amérique du Sud et organiser des échanges commerciaux a naufragé. Cet évènement s’est produit le 29 février 1759 avec mon équipage. Malheureusement, je suis le seul survivant d’entre eux. Je suis donc retenue sur une gigantesque île déserte que je crois qui se situe près de l’archipel Juan Fernandez à six cents kilomètres environ au large des côtes du Chili. Cette île déserte comprend une grande forêt, beaucoup d’arbres, de falaises rocheuses, de mouettes noires et blanches puis