Document architectural
La rampe arrière représentée en annexe 1 est une structure articulée sur le bas de la caisse qui ferme l’arrière de la caisse du dd.
L’abaissement et la remontée de la rampe sont assurés par un dispositif de relevage placé en partie basse entre la caisse et la rampe. Le dispositif de relevage comporte
• un compensateur à ressorts qui retient une partie de la charge et participe à l’amortissement de fin de course de la rampe. Le compensateur absorbe de l’énergie à l’ouverture et la restitue à la fermeture. De fait, il permet de diminuer la puissance de l’actionneur.
• un actionneur électromécanique linéaire qui assure la manœuvre, le contrôle de la vitesse, le contrôle de la course et le maintien de la rampe lors des arrêts en position intermédiaire.
Seul l'actionneur assure le maintien de la rampe en position ouverte et supporte la charge du personnel circulant sur la rampe. Le compensateur ne doit pas être en butée mécanique en fin de course.
Le nombre de manœuvre en temps de paix est de 3 par jour et de 440 à 540 par an. Le nombre de manœuvres (ouvertures + fermetures) en mission de combat est de 10 par jour. Deux ouvertures fermetures consécutives peuvent être exécutées.
Par rapport à la place disponible, aux performances demandées et aux possibilités des ressorts hélicoïdaux, les choix architecturaux suivant sont faits :
• la largeur du corps ne doit pas dépasser 140 mm
• côté tige la hauteur corps ne doit pas dépasser 140 mm
• la longueur est limitée à un entraxe de 985 mm entre articulations position rampe fermée
• la course du compensateur doit être supérieur à la course imposée par l'actionneur (420 mm).
• le rapport entre la longueur et le diamètre impose d’utiliser deux ressorts bout à bout pour la course sans « flambage » des ressorts
Un concept candidat est présenté en annexe