CORPUS

Ce corpus traite quatre scène tel que : l’acte III scènes 1 et 2 ainsi que l’acte V scènes 5 et 6 extrait de Dom Juan de l’œuvre de Molière datant de 1665. Nous allons nous intéresser au personnage de Sganarelle qui est le valet de Dom Juan en établissant des différences et ressemblances de ce personnage dans ces scènes.

Sganarelle ne se s’épare jamais de son maitre Dom Juan, il le suit où qu’il aille, c’est un couple inséparable. Il lui sert même de porte parole et de témoin oculaire en lui affirmant que « c’est un spectre [qu’il] le reconnai[t] au marcher ». Dans la scène 6 acte V on comprend mieux sa souffrance quand son maitre meurt : « il n’y a que moi de malheureux ».
Dans l’acte III scènes 1 et 2 Sganarelle se range du côté de la religion et se moque de la croyance de Dom Juan qui est « l’arithmétique ». Il montre que son maitre croit que ce qu’il voit et ce qui peut être démontré par la science tel que « deux et deux font quatre et quatre et quatre font huit », il est impieu. Sganarelle argumente pour convaincre Dom Juan de se convertir à la religion et de le dissuader que la science n’a pas la bonne réponse. Ses arguments tel que : la beauté de la nature, l’origine de l’homme, sa liberté… ne tiennent pas jusqu’au bout, il « leur casse le nez ». Il démontre son ignorance par ces longs discours où il mélange superstition avec le « moine bourru », la médecine et la foi.
L’acte III scène 1 montre que Sganarelle est un croyant, un religieux puisqu’il veux convaincre son maitre de se convertir alors que dans la scène suivante ( acte III scène 2 ) il incite le pauvre à commettre un pêcher de « jurer ». Cela est contradictoire. Dans la religion on doit aider notre prochain mais Sganarelle n’en fait pas autant quand son maitre est entrain de mourir devant lui dans l’acte V scène 5, il ne pense qu’a lui et à ses « gages ».
Au tout début le valet se soumet a son maitre en mettant l’habille de médecin qu’il lui a imposer mais il est toujours