Acte 1 :
Dom Juan & le temps : DJ est saisi comme un être pressé par le temps. A peine il a enlevé sa femme d’un couvent, et il l’a épousé qu’il s’en est lassé. Il lui suffit d’une rencontre pour se décider a enlever une nouvelle jeunette. Dom Juan n’as pas envie d’une vie terrestre pour épuiser ses plaisirs. Chaque obstacle décuple son désir mais celui-ci s’évanouit des que l’obstacle est surmonté. Dj vit dans un éternel présent, en bon épicurien qui croit en nulle vie future et aussi en homme au dessus des lois.
La structure des scènes : Sg et Gusman nous renseigne sur la situation et le caractère de leur maître. DJ est confronté a Elvire dont la souffrance attire notre sympathie. Reformation du couple maître/valet, unis a la vie a la mort, et qui représente en qque sorte les 2 face de l’humanité d’un coté l’homme simple et partagé entre sa foi son honnêteté et sa fidélité envers son maitre. De l’autre coté le gd seigneur qui expose sa philosophie du changement en amour et projets.
La violence des passions : Le premier acte a une couleur sombre due à la violence des sentiments : emportement de DJ dans la stratégie de la séduction, passion ardente suivie rapidement de satiété et d’indifférence, puis de new projets tout aussi impérieux, ironie terrible de Elvire femme délaissée qui ne respire que vengeance , désespoir de Sg de servir un si mauvais maître. Qques changements de ton, suppressions de certains lazzis pour transformer la pièce en tragédie.
Du burlesque au lyrisme : 2 Eloges interviennent dans cet acte : burlesque celui du tabac par le valet et celui lyrique de la séduction par le maître.
L’avertissement du Ciel : Des le 1er acte , le mot, Ciel avec une majuscule revient constamment donnant à la pièce sa dimension véritable celle d’un enjeu métaphysique, d’un défi perdu d’avance, mais plein de grandeur. DJ défie le Ciel en enlevant sa femme a l’obstacle sacré d’un couvent. On apprend qu’il ne croit ni Ciel ni enfer. Scène 2 : après la profession