Dowling, Coco
Explication de Texte #1
« Antiquités de Rome, Sonnet XXX », par Joachim Du Bellay, examine la montée et la chute de la Rome antique avec un ton de réprimandes. Comme la nature est née pendent le printemps, le champ lexical du printemps représente la Renaissance. Les personnifications, qui sont trouvées partout, permettent Du Bellay d’amener le blé à la vie, soulignant son état naturel. Il amène finalement la ville à la vie aussi, ce qui rend sa disparition éventuelle plus tragique.
Les deux premières strophes, qui traitent de la nature, sont plus longues que les deux dernières strophes. Le premier quatrain décrit la lente poussée du blé et les étapes de sa transformation du printemps à l'été; le deuxième s'intéresse plus particulièrement aux moissons. Les deux premières strophes sont reliées par leur utilisation de la couleur pour décrire le passage du temps. La première strophe discute presque trop le vert. Le narrateur mentionne « verdure », « verdissant », et « tuyau » en seulement trois vers. Ensuite, il apporte le jaune (« jaunit en grain ») pour montrer l'âge du grain et de l'empire. Le vert représente tout ce qui est naturel, tandis que le jaune représente ce qui est touché et manipulé par l'homme.
Le processus de collecter de blé tout au long de la deuxième strophe est semblable aux actions de préparant un bébé juste après la naissance. Les soins auxquels les agriculteurs donnent le grain sont semblables aux ceux d'une mère et son enfant. La récolte est soigneusement placée dans un « javelle » quand elle est prête, tout comme un bébé serait enveloppé dans des couvertures. Ensuite, le grain est placé dans des «gerbes», comme le berceau emmaillotage d'un bébé.
Les deux dernières strophes, qui traitent de l'industrialisation de l'Empire romain, sont reliées par un schéma de rimes qui se tord entre les deux. Tout d'abord, ces deux strophes discutent la façon dont le grand Empire Romain a augmenté : en recueillant un petit morceau de grain à la