I- Les organisations d’économie sociale et d’économie solidaire à l’assaut du commerce international.
UN certain nombre d’organisation d’économie sociale et d’économie solidaire ont proposé un modéle renouvelé et concret international basé sue des relations commerciales équitables entre le Nord et le Sud, soit dans le cadre du commerce alternatif, soit dans le cadre du commerce équitable ou encore dans le cadre du commerce éthique . A.M.ALCOLEA
1) du commerce alternatif au commerce équitable.
Les échanges au sein du commerce international se réalisent de la plupart des pays du sud, d’un moyen de relation entre les hommes, selon la thése du doux commerce de MONTESQUIEU.
Le commerce est devenu un enjeu de pouvoir et de profit.[P. JOHNSON 1998 ]. «Inéquitable ,cette forme de commerce banalise une relation de dominant /dominé. Ce n’est pas le commerce en tant que tel qui est un problème mais son utilisation comme arme économique . cette situation entraine un déplacement des marges vers l’aval , appauvrissant les producteurs au plan économique, dans l’organisation de leur travail et dans la satisfaction de leurs besoins essentiels, ainsi que ceux de leurs famille » [plate forme du commerce équitable 1998-1999] .
 dans un souci de participer à la construction d’un mondialisation plus solidaire, des actes collectifs ont crée en Europe des organisation de commerce alternatif. G. VIGNON.
H.LE GARDEUR « les premiers acteurs du commerce alternatif etaientales « magasins du monde »encore applées « boutiques tiers monde » ou « Artisans du monde » dont la création remonte aux années soixante ».
A cette époque apparit des mouvements tires mondistes, fortement inspirrées des sentiments anticolonialistes.
Dans plusieurs pays européenes ( Pays-Bas, Belgique, Allemagne, France…), les associations tiers mondistes ont servi de cadre structurel et donné de sens idéologique au déveleppoment du commerce alternatif.
 A la fin des années quatre-vint, un certain