Cher Ronald,Votre absence sera de moindre, je prévoyais déjà une telle réponse de votre part, c’est du Ronald Reagan tout craché. Cette invitation n’était que geste de politesse, c’est la moindre des choses qu’un ainé peut faire. Peu importe avec ou sans vous, nous éprouverons du plaisir quand même. Dans mon temps, pourtant ces blagues n’étaient pas celles auxquels nous rions aux éclats. Mes camarades me disaient ce type de lexie chaque jour. J’ai compris en vieillissant que l’on me disait ces propos puisque j’y était associé dû au fait que j’ai le même sang que ces jeunes mariés malheureux. Mon enfance fut corrompue dès ma naissance, j’enviais les plus démunis puisque malgré leur misérabilité, ceux-ci avaient tous ce dont je n'avais pas de plus cher. Tous ces soirs que tu as laissé notre chère mère vulnérable pour une certaine réunion dernière minute. Je m’endormais au son de sanglot, à en faire une habitude, qui résonnait à travers notre maison trop grande mais si petite en même temps pour notre simple famille d’un garçon unique et de parents avec plusieurs divergences. Je ne vois gère intérêt à cette lettre étant donné que je ne suis pas comme vous cher …afficher plus de contenu…

Je ne laisserai jamais et je dis bien au grand jamais ma femme avoir qu’un minuscule soupçon sur notre relation. Aucune jeune dame mérite de se faire traiter ainsi. Je ne briserai jamais la promesse que je vais faire d’ici 24h pour une histoire d’une nuit. Je me sentirais beaucoup trop coupable et je finirais surement comme l’un de ces hommes qui devient président des États-Unis à faire toute sorte de promesse et de changement pour un environnement meilleur lorsqu’en fait le seul environnement qui demande réellement de laide et de l’entretien est son environnement familial. Mon cœur a fait un bond lorsque j’ai vue cette lettre, j’avais enfin cru que mon propre paternelle allait enfin démontrer sa fierté mais je n’aurais pas dû m’énerver à ce point car vous ne changerez