Ahora te escucho

Maintenant je t'écoute

Un père et un fils assis un de dos à l'autre. Le premier, en feuilletant lentement le journal. JORGE en donnant des échantillons d'impatience.

JORGE : Papa, vas-tu me répondre ou non ?!

EL PADRE : Que ? Disais-tu quelque chose ? Fort íjate comment le monde est. N'importe quel jour de ceux-ci... Regarde s'il(si elle) a gagné la ligue de Barcelone!

JORGE : Et qu'est-ce que cela m'importe maintenant! Je te demande si tu vas me donner l'argent pour la batterie ou non. Fede, le Quino et les autres sont pendants de que je mets ma dépêche(partie) pour la payer, et tu si tranquille. Je te le dis depuis un mois..

EL PADRE : (En se levant fait sursauter et en lâchant le journal.) tranquille ? Quelle heure est-elle ? (En regardant l'horloge) Les sept! Et à six heures et demie il(elle) aurait à avoir appelé l'entreprise pour voir si le camion en ciment est arrivé. Un fils pardonne, maintenant je t'écoute. (Il(elle) marque un nombre de téléphone) Raymond ? Oui je suis Gonzalez. Julian est-il par là ? Oui ? Dis-lui qui se met.

JORGE : (En se dirigeant vers le public) Tout de suite ne veux pas! Jorge, que par quel Viennois si tard; Jorge, que pourquoi tu tires des notes si mauvaises; Jorge, quels faisceaux avec l'argent que je te donne; que pourquoi tu marches avec ces si rares gens. Jorge, Jorge, Jorge. Le nom(nombre) va me biffer de tant me demander par tout, mais il(elle) ne s'informe jamais de rien. Un jour je disparais sans que dise d'adieu et d'assurance il(elle) que ni me manque. Un total, ni il(elle) me voit m'entend.

EL PADRE : (Il(Elle) pend le téléphone. Il(elle) regarde du coin de l'oeil son fils et on recommence à aller en prenant le journal.) es-tu encore là ? Ne disais-tu pas que tu allais sortir avec la Marte cette après-midi ? Quelle telle cette Marte, Jorge ?

JORGE : (Avec l'intention de lui répondre) Bon...

EL PADRE : N'est-elle pas cette fille qui sortit avec Ferdinand le mois passé ?