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Le contexte de l'oeuvre.
Cette œuvre fait parti de l'ensemble des vingts romans des Rougon-Macquart, et parle ici de Jacques Lantier, fils de Gervaise Lantier, elle même fille d'Antoine Macquart, le descendant direct de la « fondatrice » de l'arbre généalogique. La bête humaine fait parti des trois romans les plus importants de cet ensemble, et est compté comme le dix-septième des vingt romans. Dans ce livre, les faits se passent entre l’hiver 1869 et l’été 1870, une période où l'Europe est plongée dans des troubles politiques : fin du Second Empire et début de la guerre avec la Prusse. Le roman s'inspire également de faits réels, ce qui n'a pas forcément plus aux contemporains de Zola, comme les crimes de Jack l'Eventreur (1888) ou l’affaire Fenayrour (1882) et l’affaire Barrême (1886) . L’utilisation de ces faits dans le roman lient le livre à son époque, celle des années 1880 – 1890. Ce roman dans lequel il décrit la vie ouvrière et le monde des trains et la vie de ceux qui y appartiennent. Le naturalisme est considéré comme un mouvement littéraire où les auteurs parlent de tous les sujets, sans aucun tabou. Où les écrivains décrivaient la société telle qu'elle était, incluant des descriptions scientifiques et objective des réalités humaines. Dans La Bête Humaine, on parle de meurtre, on décrit la famille Lantier comme étant atteinte d'une fêlure héréditaire, puis on le prouve. C'est là la manière d'écrire d'un écrivain naturaliste : émettre une hypothèse, puis la vérifier au cours du roman. C'est ce qui est fait dans le roman, ce qui prouve qu'il fait bien parti du mouvement réaliste. Lors de sa parution, cette ouvre à « choqué » les contemporains de Zola, sûrement par le fait d'avoir écrit sur des faits réels ou sur le thème du meurtre.
Réflexions Personnelles.
a) Thème traversant l'oeuvre :
- Le thème le plus récurrent est celui des chemins de