POUR UNE PRISE DE PAROLE REUSSIE LORS D’UN ORAL

PREALABLEMENT

Affirmer sa personnalité :
Mentalement, pratiquer l’affirmation de soi, car il importe d’avoir de soi une vision positive.

Libérer sa créativité :
Ne pas accepter le mutisme et la culpabilité, oser s’opposer à ce qui oppresse : exercice de désinhibition.

Avoir foi en ses objectifs :
Cerner ses objectifs, les verbaliser en résolutions simples, les animer de manière autostimulante.

Etre détendu :
S’offrir des exercices de décontraction musculaire.

Avoir l’esprit dispos :
Réconcilier le corps et l’esprit lors d’exercices de relaxation.

Se mettre physiologiquement à l’aise :
Adopter la respiration ventrale, autorelaxante, ne congestion­nant pas la gorge, offrant la meilleure capacité pulmonaire.
EN SITUATION
Avoir confiance en soi et le montrer :

Faire face. Adopter une position stable et sécurisante.
Considérer avec sympathie ses interlocuteurs et le montrer :

Les regarder avec franchise. Sourire.
Croire soi-même à ce que l’on dit :

Attendre le silence et les regards pour commencer à parler. Posséder tous les signes de la conviction.

Entretenir sa propre détente, tout en se conciliant l’interlocuteur :

Formules autorelaxantes et conciliantes.
Maintenir un état de libre parole :
Par une décontraction locale permanente.

Le trac interne n’est pas visible :
Parer au trac externe par des gestes et propos expressifs et vo­lontaires.

Mettre soi et les autres à l’aise :
Faire rire ou sourire dès le début pour détendre l’atmosphère.

Ne jamais commencer à parler en s’excusant, en se minimisant, en se justifiant... Ni dans les mots, ni dans le ton, ni dans l’attitude.

Se décomplexer.
Il ne faut pas vouloir avoir des idées. Ne pas se crisper sur les mots. Il faut seulement chercher à se mettre en état de libre parole.

Pour se mouvoir à l’aise : se familiariser avec les lieux ; mieux : inventer soi-même son espace de communication, s’y