I. Etude macro économique

a. Le marché national du prêt à porter féminin
Le marché français du prêt à porter féminin est composé des famille de vêtements de dessus (top, pantalon, manteaux..) et des dessous (lingerie, pyjama..) La famille des vêtements de dessous est en général commercialisées en magasin spécialisés (Etam lingerie, Darjeeling..)
Après plusieurs années de dynamisme et de développement, le secteur du prêt à porter féminin français subit le retournement de la conjoncture dû en majorité à la stagnation des revenus et à l’inflation des prix. De plus, les grandes chaînes étrangères (Zara, H&M, Mango..) apparaissent durant cette conjoncture dans le secteur, créant ainsi une forte concurrence aux chaînes française (Promod, Camaïeu..).
L’activité du prêt à porter dépend également des aléas climatiques qui se répercutent directement sur les ventes. La consommation des ménages en prêt à porter féminin reste une variable dans leurs budgets, en effet, cette dépense varie surtout en fonction des collections, des prix et des saisons.

b. Les chiffres clés Le secteur du prêt à porter dispose de 46 445 points de vente qui emploi plus de 56 000 salariés. Le graphique ci-dessus nous démontre le nombre de salariés employés par type de point de vente. Avec un total de 24 617 salariés, le prêt à porter féminin est le secteur qui emploi le plus de personnes. Ce chiffre est dû à la multiplication des enseignes féminine est à l’intensification de sa concurrence. Ce graphique démontre l’évolution des créations d’entreprises dans le secteur du prêt à porter entre 2002 et 2008. C’est en moyenne 3600 entreprises dans le secteur de l’habillement qui sont créé chaque année. Toutefois, les facteurs de risque sont très nombreux, puisque la consommation dans ce domaine est capricieuse et dépend beaucoup du temps. De plus, le turn-over dans les métiers du prêt à porter est l’un des plus élevés qui existe.
Par ailleurs, le secteur du prêt à porter offre des