etude parenté
A. Parenté anthropologique des Africains et des Egyptiens
Les textes canoniques des tombeaux des pharaons et les témoignages unanimes des auteurs grecs soulignent avec force l’appartenance des égyptiens anciens et des Nubio-soudanais à la même race : celle des nègres.
Tous les témoins oculaires affirment que les anciens égyptiens étaient des nègres. Hérodote témoignent qu’ils sont noirs et qu’ils ont les cheveux crépus. Puis faisant preuve de courage et d’honnêteté Hérodote fait un rapport sur ce qu’il a vu en Egypte pharaonique, et de conclure : « la Grèce a pris à l’Égypte tous les éléments de sa civilisation, jusqu’au culte des Dieux, et c’est bien l’Égypte qui est le berceau de la civilisation occidentale ».
Les recherches archéologiques
Les résultats des fouilles ont levé le voile sur l’une des pages les plus importantes de l’histoire de l’humanité : l’épopée du peuple ANOU.
Ainsi, à l’issus de travaux, Amélineau déclara :
« Des diverses légendes égyptiennes, j’ai pu conclure que les populations établies dans la vallées du Nil, étaient de race nègre, puisque la déesse Isis est dite être née sous la forme d’une femme rouge noire, c’est à dire ainsi que je l’ai expliqué, avec la couleur café au lait que présentent certains individus de race nègre dont la peau semble avoir des reflets métalliques de cuivre »(4).
Amélineau démontre ainsi que la population africaine qui a colonisé la vallée du nil s’appelle ANOU. Elle a descendu graduellement le Nil et a fondé entre autre les villes d’Esneh, d’Erment, de Qouch et surtout d’Héliopolis.
Il est aisé d’admettre que l’occident par l’intermédiaire de la Grèce antique est tributaire de l’Égypte ancienne.
Pour les tenants de la théorie chamitique, y compris Gobineau, la bible aurait complètement ignoré les « Noirs proprement dits », et n’aurait parlé que de Blancs, notamment dans leurs variantes