evolution decentralisation maroc
La partie « Titre IX. Des régions et des collectivités territoriales », qui va de l'article 135 à l'article 146[4], précise : dans l'article 135, que les collectivités territoriales (régions, préfectures ou provinces et communes) « constituent des personnes morales de droit public et gèrent démocratiquement leurs affaires » ; ainsi que le conseil communal et le conseil régional « sont élus au suffrage universel direct » ; dans l'article 145, que les walis et les gouverneurs « représentent le pouvoir central » au sein des collectivités territoriales.
Textes constitutionnels précédentsModifier
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Le cadre de la decentralisation
Engagée dès les premières années de l'indépendance, la décentralisation renvoyait à trois niveaux[pertinence contestée] de collectivités territoriales depuis le dahir no 1-59-351 du 1er joumada II 1379 (2 décembre 1959), relatif à la division territoriale du Royaume)[pertinence contestée] : les régions[pertinence contestée], les préfectures (issues des anciens départements)[pertinence contestée], et les communes.
Divers redécoupages ont eu lieu pour tenir compte de l'évolution de la population, et aux préfectures divisant les régions se sont ajoutées les provinces[pertinence contestée]. La loi no 47-96 de 1997 relative à l'organisation de la région a réduit son rôle au seul plan administratif pour transférer les compétences des 16 régions (devenues régions économiques) aux wilayas traditionnelles acquérant le statut de collectivité territoriale en lieu et place de la région[pertinence contestée].
Le décret no 2-09-319 du 11 juin 2009 a encore modifié le schéma en y ajoutant les préfectures d'arrondissements[pertinence contestée] en déclarant : « Le