Cet extrait de texte est issu « Du mensonge à la violence » écrit en 1994 par Hannah Arendt.
Hannah Arendt était une philosophe allemande, naturalisé Américaine, qui étudié le phénomène totalitaire et la modernité.
Dans ce texte, l'idée principale est la désobéissance civile. La désobéissance civile est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique. Bien sur, pour appuyer cette idée principale, l'on compare la désobéissance civile à la délinquance, qui est une autre forme de protestation. La délinquance est l'ensemble des infractions et délits commises dans un pays donné pendant une période déterminée. Tout d'abord, dans le premier paragraphe, c’est une explication précise qui situe l'acte de désobéissance civile pour les citoyens mécontents. Cette forme de rébellion ce pratique en groupe,« intervient lorsqu’un certain nombre de citoyens ont acquis la conviction » (lignes 2/3)
De plus, les citoyens agissent ensemble pour montrer leurs désaccord avec le gouvernement , « un gouvernement [...] mises en doutes. » (lignes 6 à 8). Cette fin de paragraphe explique les causes d'une désobéissance civile face à l’État, dans un but bien précis, faire changer d'avis le gouvernement.
Dans le second paragraphe, la désobéissance civile est comparé avec la délinquance. La différence est que la désobéissance est un acte pacifique, en groupe, contrairement à la délinquance, qui est un acte criminelle qui dissimule ses actions.
Pour finir, dans le dernier paragraphe, c'est une explication plus poussé des deux comparés. En premier lieu, la délinquance est un acte criminelle donc répréhensible par la lois, et de ce fait, si les autorités découvrent cet acte, le criminelle ne cédera pas et aura recours à la violence. Cette action est en plus, personnelle, ce qui ne ferra pas changer les lois, et donc c’est une