FHPJ
I. L’héritage antique (importance de l’Antiquité dans la pensée juridique)
- Rousseau (cf. txt fascicule), fondateur de la modernité po, admire inst° antiques et incite à s’y référer
- connaissance du monde antique est partagée par l’élite cultivée européenne (= facteur puissant d’unité) et indispensable pour mener une carrière juridique.
- Opposition anciens/modernes :
- fin 17’s : modernes = mvt de rejet de l’Antiquité :
cité correspond plus à idée de E nations
dif convictions collectives : anciens = H fait partie de l’univers, modernes = sciences permet à l’H de maitrise l’entourage
conceptions de la société différente
- Benjamin Constant (19) : exprime cette opposition : « D’un côté la liberté des modernes qui exprime une volonté d’indépendance par rapport à l’état, de l’autre côté la liberté des anciens conçue comme un pouvoir de participer à l’exercice de la puissance publique «
- Manifestations de l’héritage de l’antiquité :
- réf à l’Antiquité jamais complètement écartée pl renaissances, influence renouvelée :
renaissance carolingienne
12ème redécouverte des compilations de Justinien = renaissance de la science du droit
avec dt
- Ces renaissances expriment un choix culturel collectif qui définit l’Europe.
- Influences du modèle grec :
- sur la pensée, l’art, le droit et les institutions
- connaissance de la Grèce antique grâce à la médiation romaine et la pensée stoïcienne (Cicéron ou Sénèque) qu’on emprunte la définition de la Loi (jusqu’au 16)
Etudes de 2 institutions qui cherchent à assurer, par les institutions et par les lois, une forme d’égalité
II. Le modèle spartiate sa C° a servie de modèle et de repoussoir
1. Les structures sociales.
- visent à maintenir : une égalité rigoureuse entre les citoyens (pas inclus les non citoyens) et une emprise de la communauté sur ceux qui la composent :
finalité de toutes les règles,
ex : chaque citoyen reçoit 1 lot de terre,