André Breton, le revolver à cheveux blanc (1932)

1er des surréaliste, il fonde le mouvement.
Tous les grds poètes de cette époque y ont été, ils quitte tous un à un le mouvement, que breton menait d’une façon tyrannique.
De plus celui ci devient communiste.
Il écrit un poème en prose qui caractérise le désespoir

1/ Enonciation
a) Poète se met en scène
« Je » très fréquent, « connaît » est un présent d’énonciation
« Nous n’avons pas finis de désespérez » l.11
Même le pléonasme « Moi je » l.11 il interpelle le lecteur « si vous voulez » l.6
« Nous n’avons pas finis de désespérez » l.11 le rapproche
Fait ref à sa vie « graines qui quittent (…) un sillon » l.4 sont ces amis qui quitte le surréalisme.
b) Difficulté d’exprimer le désespoir « le reste » l.10 litote nous n’en parlons pas : limite du language, thème de l’inefffable le désespoir est insaisissable, il ne tient pas même à un fil » l.10 touche d’humour : désespérer de ne pouvoir décrire le désespoir. c) Différente approche Voie apophatique, négative, définir le désespoir par ce qu’il n’est pas. Utiliser d’abord pour définir dieu Thème de l’ineffable. L.5 : dialectique plus classique, « c’est » pour définir Grande quantité d’image, c’est la technique surréaliste.

2/ Caractériser le désespoir a) la voie apophatique
« n’a pas d’aile » l.1 : évoque la chute.
« N’est pas pas la mousse sur la pierre » l.5 le tps qui passe
« n’est pas le verre à boire » l.5 refuse le boire son désespoir jusu’à la lie, il ne s’écoule pas, ne part pas, et ne permet pas de vivre indépendamment . b) la voie dialectique
« neige » l .6 : évoque tristesse
« oiseau qui tombent » l.6 : reprend le n’as pas d’aile.

Spatialise : évoque une femme « délimité par des bijoux de cheveux » l.8
De plus le « collier de perle » l.9 qui n’a pas de fermoir » l.9 évoque que le désespoir est un masque, une attitude qu’on se donne, mais qui nous échappe

La main tente de lutter mais n’y parvient, la