Date d’écriture : 1980
Date de traduction française : 1987
Résumé :
L’histoire commence en 1701, quand Maria Christine apprend la mort de son père, le cavalier suédois, lors d’une bataille en Suède. Elle est très attristée. (retour en arrière)
Un voleur « de grand chemin » et Christian Von Tornefeld ; un officier de l’armée de Suède condamné à mort par le tribunal de guerre qui quitte ce pays, car les conseillers généraux ont spolié » son domaine, le réduisant à la pauvreté quittent leur domaine. Cette fuite est très dure. Le voleur et lui trouvent des traces de cavaliers. Ils rentrent alors dans un moulin ‘abandonné’, puis se servent. Puis ils aperçoivent un vieux monsieur sur un banc ; ils ne l’ont pas vu arriver. Cet homme est bien le vieux meunier qui, selon une légende, s’est pendu pour des raisons financières. Il leur raconte qu’il s’est fait pendu, mais l’évêque l’a sauvé. Le baron Maléfice est un baron qui s’est donné comme but d’anéantir les brigands.
Tornefeld dit qu’il veut « servir son maître », le roi de Suède, le jeune Charles XII de Suède.
Von Tornefeld envoie le voleur chez son parrain, qui possède un domaine non loin de l'endroit où ils ont fait halte pour la nuit, pour lui demander de lui prêter de l'argent. Il a juré fidélité à sa fille. C’est un domaine à l’abandon ; où des valets dépècent à qui mieux-mieux les dernières richesses profitant de la disparition du maître et de la candeur de sa fille. La vision de la jeune fille est déterminante : Piège à poules se jure de revenir au domaine, de la sauver des griffes de ceux qui exploitent sa naïveté et de l'épouser. Mais pour cela, il faut que Christian Von Tornefeld disparaisse.
Le cavalier Suédois s’appelle le « cavalier Suédois », car il porte toujours sa redingote bleue (quand il arriva au domaine, il l’avait).
Brabançon lui dit qu’il doit fuir, car les mousquetaires impériaux sont à ses trousses et il va finir au gibet. Pour échapper à une mort certaine qu'il craint plus que tout,