Fonds de pension & RH

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Crise de la dette

31 pays ont annoncé le ralentissement de leur activité.
En France, on a revu notre croissance à la baisse : 1,75. Au second semestre on a eu une croissance de 0. Il faut savoir que 1,75 de croissance ne suffit pas à créer de l’emploi.
Les USA, eux perdent encore plus que durant le précédente crise.

On est passé cet été d’un CAC à 4000 à 3000, cela signifie qu’on s’éloigne de plus en plus de la valeur réelle des actifs.

Les problèmes de gouvernance, on en a essentiellement dans la zone euro et aux États-Unis.
La baisse de la note des Etats-Unis (AAA→AA+) n’a pas effrayé les investisseurs qui continuent d’acheter les bons du trésor (bien que ça ne leur rapporte rien). On ne croit pas en la faillite des Etats-Unis.
[4% des entreprises ont AAA]
Par contre on a peur en ce qui concerne le secteur bancaire. Cette peur a fait chuter tous les secteurs. Il n’y a donc pas de fusion-acquisition car l’ambiance est à la baisse. Il y a une réduction des introductions en bourse car les entreprises ne veulent pas vendre leur actions à prix bradé.

Faire défaut de paiement (on ne paie pas) ≠ faillite → on ne pourra plus jamais payer

Dette des USA : 1500 milliard de déficit budgétaire 14 300 milliards de $
Quand une guerre éclate , la bourse baisse mais un an après le niveau de la bourse est au dessus du niveau initial.
Avant un Président pouvait emprunter quand il avait de l’or.
Pour s’endetter il faut déjà prévoir un budget : la loi de finance. La loi passe ensuite devant le Parlement. Cette année aux USA, le congrès n’a pas voulu augmenter le montant de la dette (14 500 milliards $).

Plus que la dégradation de la note des USA c’est la sévérité des débats qui a fait flancher l’économie mondiale. L’idée que la 1ère puissance mondiale ne puisse plus s’endetter a effrayé.

En Europe, les 4 dirigeants ne sont pas capables