Cadre spatial : Dans sa maison entouré d’arbres et de fleurs. La route est loin de l’habitation.
Cadre Temporel : Au début de printemps.
Thème : Nature : Le bonheur de la narratrice est lié à l’environnement dans lequel elle vit. La beauté de la nature la rend heureuse de vivre.
Bipolarité : La narratrice passe d’un extrême à l’autre. Elle semble émerveillée par la nature puis semble enragé par son mari. Elle a un trouble de l’humeur qui a causé la mort de son marie. On voit la bipolarité dans la lettre lorsque que la narratrice varie d’un sujet à l’autre.
Hypersensibilité / Exagération des sentiments : Le narrateur éprouve plus de tristesse, de colère, de joie qu’une personne normal. Par exemple, parce que son mari l’a trompé et que l’hiver l’avait déprimé, elle a tué son mari. Elle réagit de façon exagérée.

Alias rue Sésotris
Intrigue : Dans un immeuble sur la rue Sésotris, tout le monde a l’air respectable jusqu'au jour où le propriétaire meurt, les identités se révèlent alors et on découvre que tous les habitants de l’immeuble ainsi que le chef de la Garde mobile sont des criminels.
Personnage : Le professeur Tullio Larosi, titulaire de la chaire de Gynécologie à l’université, directeur de l’hôpital et propriétaire de l’immeuble sur la rue Sésostris. Il meurt par infarctus. Il était grand, maigre, la courte barbiche grise très soignée, les yeux vifs et pénétrants avec des lunettes. Sa voix était persuasive et profonde. Alias : Enzo Siliri plusieurs fois condamné sous le fascisme pour pratiques illicites.
Lucio Andreatta est le narrateur, il est de nature très curieux alias Luis Serponella anarchiste terroriste
Docteur Luccifredi ami du narrateur et chef de la police. Visage maigre avec cicatrice alias Carminé Nichiarico tueur de la bande Rossari
Cadre spatial : Dans un appartement, 5 rue Sésostris. Un style sobre. La maison est faite de pierre.
Cadre Temporel : L’histoire dure environ 2 jours
Thème : Ironie du sort : Ironie du sort pour Luccifredi, car il