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Le fait que les générations ne cessent de se renouveler nous oblige à ne pas baisser la garde. La culture reste un caractère prédominant lors des descendances. C’est-à-dire que, la génération antérieure se doit de transmettre son savoir aux « nouveaux arrivants ». Cependant, la réelle question est telle que : Ces « nouveaux arrivants » sont-ils à même de recevoir ce savoir, et même à l’interpréter ?

« Le progrès est loin d’avoir toujours suivi une ligne droite ; l’histoire a connu des générations ayant, par un mouvement rétrograde, renoncé aux conquêtes des générations antérieures ». S. Freud

Chacun reste bloqué sur ses positions, en outre, les jeunes sont persuadés de n’avoir rien à recevoir de leurs parents, sous prétexte que ces derniers sont obsolètes. Par exemple, la transmission père/fils n’est plus aussi fréquente que dans le temps. Les fils ne reprendront certainement pas le même chemin de leur père, même après que ces derniers les ait fortement incités à le faire. Ou dans certains cas, ils adapteront le sentier à leur façon, mais surtout à la génération dans laquelle ils vivent. Cependant, les attentes des jeunes ont, elles aussi, beaucoup changées. A l’heure d’aujourd’hui, les espérances sont plus importantes que celles de nos anciens. La jeunesse des années 2000 est bercée par l’argent, la consommation et l’immédiateté. Tout doit être parfait, à la seconde même où on y pense. La technologie avance de plus en plus rapidement.. Ce qui n’était pas encore d’actualité lors des années 1940, la génération dite « krach », compte tenu de la guerre. C’est pourquoi, les enfants de l’époque ont su se contenter de peu, en vu des horreurs qu’ils avaient pu connaître durant cette période de conflits.

Par ailleurs, les parents, eux, étaient beaucoup moins touchés par les événements graves que la génération d’aujourd’hui connaît. Comme par exemple, l’apparition du sida qui n’a fait son apparition qu’en 1981. De ce fait, ils n’étaient pas autant