Francais
Dans Première strophe, nous pouvons remarquer une alliance dans le dernier vers . Cette antithèse oppose la joie à la peine. Par le vers « La joie venait toujours après la peine » , le poète insiste bien sur le fait que nos émotions , ressentis peuvent varier selon les temps , les conditions. Si le vers semble à première vue exprimer une triste vérité, c'est-à-dire qu'il faut souffrir avant d'être heureux, il traduit en même temps un espoir voilé : s'il y a alternance entre la joie et la peine, il est toujours possible que la peine finisse pour être suivie de la joie. On peut d’abord croire que le verbe «coule» a deux sujets : «la Seine» d'abord et ensuite les amours qui semblent couler autant que l'eau .Nous avons l’impression que le poète fait un lien une sorte de comparaison implicite ( métaphore) entre le mouvement d l’eau , sa fuite et les amours.
Apollinaire pose également une question sans pour autant utiliser de ponctuation. Cette absence volontaire de l’auteur nous l avons traduite comme un cadeau de la part du poète au lecteur. C'est-à-dire que celui-ci a à libre interprétation du poème.
Dans ce début de poème l’auteur introduit le poème en évoquant la réalité des choses.
Il décrit ce qu’ il voit en parlant du paysage qu l’entoure, de la seine , d’un pont. Il fait donc un lien implicite entre ce qu’il décrit donc du concret et ses