Françai
Tout d’abord nous pouvons remarquer que les textes 2 et 3 traitent le même point de vue de l’homme, qui est l’insensibilité des condamnés lors de leur jugement. “[…] il sidérait les psychiatres en leur fournissant […] un récit articulé, en évoquant sa femme et ses enfants sans émotion particulière’’ (Texte 3 l. 13-15) et “Pas une seule fois, […] cet homme n’a paru ému de son abominable forfait.’’ (Texte 2 l.5-6), “Je ne regrettais pas beaucoup mon acte’’ (l.9-10).
De plus, le texte 1 met au jour la fierté des personnages à commettre ces actes irréparables par “le colonel comme les autres, tout mariole qu’il semblait être’’ (l.27). Ces citations renforcent le manque de prise de conscience de leurs crimes.
Mais ce groupement de texte ne s’arrête pas à donner la vision de l’homme mais aussi celui de monde.
Enfin, les textes dénonce la vision du monde par le manque de normalité, le condamné n’a “point, d’âme, et que rien d’humain, et pas un des principes moraux’’ (texte 2 l.18-19), le meurtrier est considéré comme inhumain.
De plus les textes 1 et 2 soulignent le fait que ces personnages sont des automates qui réagissent par commandement : “Ils avaient […] devant un robot […] programmé pour analyser des stimuli extérieurs y ajuster ses réactions’’ (texte 3 l.22-24) et “Dans aucunes d’elles, il n’y avait donc l’ordre d’arrêter nette cette abomination ? […]