Le sujet que nous allons vous présenter dans ce dossier traite d'un thème d'actualité. En effet, le nucléaire tient une place considérable dans les débats politiques internationaux. Plusieurs souverains d'Europe et d'ailleurs se posent encore la question quant à leur engagement pour cette énergie. La catastrophe survenue le 11 mars 2011 dans la préfecture de Fukushima et plus précisément dans la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, au Japon a eu une influence importante pour ces pays encore indécis. Ils leur a fallu peser les pour et les contres pour trouver des réponses satisfaisantes à leurs attentes.

Le Japon, troisième puissance mondiale au niveau nucléaire avec ses 54 réacteurs et 17 centrales, se voit le 11 mars 2011 subir une des catastrophes les plus importantes après celle de Tchernobyl. Cette île appartenant au continent asiatique, abritant 127 millions d'habitants est l'un des pays au monde le plus touché par les séismes, il est contourné de 4 plaques tectoniques. Pour ce fait, le pays a su développer au fil du temps une certaine expérience et sait désormais comment se comporter face à ce type d'événement naturel. Cependant, comme le dit Michaël Ferrier dans son ouvrage Fukushima l'horreur du nucléaire «... la seule chose dont on soit sûr, c'est qu'on est sûr de rien». Cette citation ne peut que parfaitement illustré le sort de citoyens japonais face à cette événement de mars 2011. Bien que des anticipations et mesures de sécurité aient été prises lors de la construction des installations à Fukushima Daiichi, les opérateurs n'ont pas su anticiper l'ampleur des dégâts qu'un séisme ou tsunami pouvait engendrer.

Nous avons décidé d'étudier ce sujet, car il est est récent, nous avons été d'une certaine façon concernés, cela a donc suscité notre intérêt. Les conséquences, encore d'actualité, ne concerne pas seulement le pays touché mais aussi le reste de la planète étant donné que les substances déversées dans l'océan, le contamine