Gerard De Nerval
Plans détailles :
I. Evocation mélancolique du temps : le temps destructeur.
a) Le temps qui passe :
Ici nous verrons les différents procédés utilisés pour mettre en avant le temps qui passe :
v.1 : c’est une métaphore où on assimile l’heure à la fleur c’est-à-dire ici qu’à chaque heure qui passe une fleur apparait.
v.5 : par le moyen d’une césure et d’une métaphore on compare l’heure à l’éclair ce qui insiste sur le fait que le temps coule.
v.3 : nous avons dans ce vers une comparaison où l’heure est comparée a la rose ; symbole de l’amour.
Le titre : le ballet est un enchainement de danses les unes après les autres d’où le poème où on dit que les heures comparées à des fleurs apparaissent les unes après les autres.
Le champ lexical du temps.
b) Le temps destructeur et immortel.
Dans cette sous partie nous verrons les conséquences que porte le temps :
v.2 : dans ce vers on retrouve une idée d’infinité. v13-14 : l’idée d’infinité est également dans ces deux vers dans lesquels on retrouve dans le vers 13 l’adverbe ‘’toujours’’ et une césure (insistance) avec de plus un enjambement vers le vers 14 qui marque une continuite/un enchainement ce qui met l’accent sur cette idée.
v.6 : ici on va jusqu’à nous dire qu’à cause du temps qui passe le monde finira en néant soit à l’absence d’existence soit alors à la mort.
v.12 : dans ce vers on retrouve une contradiction des temps soit : le passé opposé au present.
II. Le lyrisme amoureux.
a) L’amour un sentiment à en profiter:
Dans ce sous-axe nous étudierons les moyens utilisés pour montrer qu’il faut profiter du sentiment amoureux:
v.7 : ici nous avons ‘’l’animalisation’’ de l’heure comparée ainsi a un oiseau qui met en relief le temps qui passe mais aussi l’adjectif de supériorité ‘‘meilleure’’ qui montre qu’il faut profiter le plus rapidement possible des bons moments
v.21 : nous retrouvons ici également une césure qui nous montre qu’il ne faut pas abandonner (ici lors de