Gestion financiere
L’entreprise «Allo-160 » spécialisée dans le renseignement par téléphone, envisage l’acquisition d’équipements productifs pour une valeur de 1.440.000 et amortissable sur 4 ans en linéaire.
Sa valeur résiduelle est supposée nulle à la fin de sa période d’amortissement. L’étude de la rentabilité économique de cet investissement, réalisée dans les conditions habituelles, a donné un taux interne de rentabilité de 35 %.
On hésite entre les deux modalités de financement suivantes :
Première modalité : * Location de la totalité des équipements avec le versement de 8 loyers semestriels de fin de période, d’un montant unitaire de 300.000.
Seconde modalité : il s’agit en réalité d’une combinaison de financements. * Un quart du projet est fiancé par emprunt, au taux d’intérêt de 15 % et remboursable in fine. * La moitié du projet est financé par crédit-bail : le contrat prévoit les conditions suivantes : * versement d’un caution de 60.000 en «0» et restituée à la fin de la location ; * versement de 3 loyers annuels de début de période, d’un montant unitaire de 225.000. * possibilité d’une option d’achat (supposée effectivement exercée par l’entreprise) en fin de troisième année pour un prix de 90.000. * Un quart du projet est financé par fonds propres.
Quelle modalité de financement est-elle à envisager ?
Cas n°2
Les actionnaires de la société « DALIA » S.A. ont déterminé que la rentabilité d’un investissement "I", de montant 5.000, sera de 20 % s’ils apportaient en fonds propres la totalité du coût de l’investissement, et de 35 % s’ils finançaient partiellement l’acquisition de "I" par un emprunt au taux de 10 %.
Quel sera le montant de l’emprunt ?
Cas n°3 :
Pour renforcer son fonds de roulement dans la perspective d’une forte croissance du chiffre d’affaires, le directeur d’une PME, peu endettée, décide d’emprunter la somme de 160.000 DH sur 5 ans au taux de 12,5 %.
Il est prévu de rembourser ce prêt