guide de lecture
Relire la section sur l’ignorance 116 e à 119 b (p.75 à 79)
Après une discussion sur le juste, il a été démontré qu’Alcibiade ne peut pas connaître ce qu’est le juste puisqu’en aucun temps il n’a cru ignorer ce qu’est le juste. En effet, on ne peut pas désirer connaître ce qu’on croit déjà savoir. Que faut-il penser de l’ignorance d’Alcibiade ? De quelle sorte d’ignorance s’agit-il ? En quoi est-elle différente des autres types d’ignorance ?
Lire la section sur Les véritables rivaux d’Alcibiade 119 b à 124 b (p. 81 à 86)
Pourquoi Socrate parle-t-il notamment de l’éducation du fils du roi Perse à Alcibiade ?
Suppose, dit Socrate, qu’on va dire à la femme de Xerxès qu’il y a un dénommé Alcibiade qui veut lutter contre son fils Artaxerxès, elle voudrait sans doute savoir sur quelle application et sur quelle habileté il peut compter. À partir de la réponse imaginée par Socrate, qu’est-ce que
Socrate veut faire comprendre à Alcibiade ? Faites le lien avec l’inscription de Delphes.
Lire la section Recherche de la manière de devenir meilleur 124 b à 127 e (p. 86 à 92)
Est-ce qu’Alcibiade connaît le meilleur auquel il faudrait s’appliquer pour bien administrer la cité ? En d’autres termes, est-ce qu’il connaît la chose dont la présence ou l’absence fait que la cité est mieux administrée ? Pourquoi ?
Lire la section Qu’est-ce que prendre soin de soi-même ? 127 e à 129 a (p. 93 à 95)
Est-ce qu’Alcibiade savait qu’il y a une différence entre prendre soin de soi-même et prendre soi de ce qui nous appartient ? Justifiez.
Est-ce qu’Alcibiade sait par quel art on prend soin de soi-même ? Avant de connaître cet art qu’est-ce qu’il lui faudrait connaître ?
Lire la section Pour savoir comment prendre soin de soi-même, il faut connaître ce qu’est le soi 129 a à 132 b (p. 95 à 101)
En quoi la distinction entre celui qui coupe et l’outil dont il fait usage ou plus généralement la distinction entre celui qui se sert d’une chose