HAYK
I think that explaining evil behavior with psychology, in fiction, reduces Evil from a metaphysical state to a personal character driven state (physical and moral evil instead of a metaphysical evil). Which leads most viewers/ readers into counter identification with the evil doer and thus distantiation from the evil acts being done. This negates the idea of evil being a constant, a human and social imperfection.
La notion de mal apparaît d’abord à la réflexion comme négative : une imperfection de la nature,de la société et/ou de l’existence humaine. De quel mal s’agit-il ? En effet, il existe plusieurs sortes de mal :
Le mal métaphysique : il concerne la constitution du monde, l’arrangement des choseset des événements dans le monde. En l’occurrence, il s’agit de l’imperfection du monde.
Le mal moral : il qualifie l’action des hommes, et plus particulièrement, l’action non conforme à ce qu’il est"bien " de faire (= action non conforme à la "loi morale "). Péché, crime.
Le mal physique : qualifie les sentiments des hommes, face à la fois au mal moral et au mal métaphysique : souffrance,tristesse, misère, etc… Dans notre question, il s’agit du mal en un sens moral, puisqu’il s’agit de l’action de l’homme. Le mal est ce qui s’oppose au bien moral, à l’exigence de la loi morale. Le terme de"vouloir " renvoie à la volonté, au principe de l’action et/ ou du choix de