l'or de l'amérique capacité de l'état en assurant la rentrée de l'impôt, renforcement de l'appareil de l'état, il faut que la pop puisse supporter l'impôt demandé à l'état, augmentation important de la pop durant le premier 16 ème siècle -> permet d'avoir un impôt plus important et on s'aperçoit qu'elle ne devient pas plus pauvres, au contraire + facteur économique cycle A : ce dynamisme permet à l'état d'asseoir ses finance.
Arrivée de l'or d'Amérique : mine mis en exploitation, notamment mine d'argent, bon pour les caisses de la monarchie, l'or arrive aux particuliers et la frappe monétaire qui va aider au dvlpt des échanges. budget de l'état : il n'y a pas de budget, on lève les impôts au fur et à mesure des besoins, le montant peut varier selon les nécessités du roi, la fiscalité s'est dvlp depuis le règne d'isabelle et de Ferdinand, la fiscalité a doublé à l'époque des rois catholiques, surtt rentrée des impôts meilleurs, qui vont au roi parce que meilleur administration fiscale, cela était facilité par l'union des deux royaumes et permis de percevoir plus d'impôts, augmentation des taxes sur les produits courants ex : boissons. Dans ce panorama fiscal, le poids est toujours sur la castille, Aragon particulier mm sous l'autorité de CQ puisqu'ils bénéficient de privilèges fiscaux justifiés par le rôle qu'il tient dans la production des frontières. En castille, ts les territoires n'ont pas le mm régime fiscal, ex : la Navarre, les provinces basques. L’impôt continue d'augmenter à l'époque de CQ, par contre la pression fiscale est assez stable, deux impôts : l'al cabala (= taxe de 10% sur tout les types de transaction) + les services (=impot par tête qui pèse sur tout les roturiers), les impôts ne sont pas payés de la même façon ds l'espace castillan mais en mm tps les impôts ne sont pas payés par tous et notamment les services : les nobles et les ecclésiastiques. les services = impôt de répartition, le montant est fixé par la monarchie et négocié avec les