Histoire
A. Une volonté ambiguë à partir de 1957
1. Contexte qui change
Progrès soviétiques, tout ceci qui ne peut pousser qu’à une coexistence pacifique. L’Union Soviétique veut essayer de développer son économie. Et pour cela, elle a besoin de moyen et de limiter la course aux armements.
2. Les hommes changent :
Khrouchtchev est désormais l’homme fort de l’URSS avec la déstalinisation. Homme d’ouverture. Aux Etats-Unis arrivée de Kennedy. Le dialogue entre ces nouvelles personnes s’instaure, M. K se déplace fait un voyage aux Etats-Unis en 1959. Il va en 1960 à Paris où il reconnait le Général De Gaulle et en 1961 rencontre Kennedy à Vienne.
3. L’ambigüité demeure
Le but est quand même de terrasser l’autre bien que la compétition des armes soit pour l’instant posée. C’est l’inamovible ministre des affaires étrangères, Gromyko, symbole de la guerre froide. Il incarne la diplomatie très active, qui va prendre pied progressivement dans le monde entier.
Il développe une diplomatie vis-à-vis du Tiers Monde. Ex : création d’une université spécialisée pour le Tiers Monde. Université Lumumba. Il s’agit d’une diplomatie active. S’ils se libèrent un peu, il y aura des revendications diplomatiques en introduisant le pouvoir libéral dans le communisme.
La crise des fusées montre que l’on continue à avancer ces pions : détailler Cuba.
B. Qui s’affirme après 1962
1. Augmentation des échanges
L’un des principaux personnages de la détente : Brejnev. Il reprend la théorie Khrouchtchev. Il y a développement des échanges économiques entre l’Est et l’Ouest. L’Union Soviétique vend des produits miniers et énergétiques (hydrocarbures) et importe des produits technologiques. Contrôle mis en place sur la réserve. Elle réclame des produits agricoles pour nourrir sa