Historiographie Histoire : connaissance et récit des évènements du passé. La science et la méthode permettent d’acquérir et transmettre ces connaissances. L’histoire n’est pas une science dure, elle ne s’appuie pas sur des expériences répétés.* C’est une science humaine.* La scientificité de l’histoire tient à sa méthode.* L’histoire c’est 1 objet, 1 méthode et 1 contexte.* Il y a 1 renouvellement des sciences, changement d’écoles historiques.* Il existe différents champs historiques (*pol*, éco socio)*. L’école méthodique/positiviste. *Principe : trouver doc, authentifier ce doc et établir des faits positifs. 2 enjeux : codification de la méthode et diffusion des acquis de la méthode (enseigner l’histoire)*. La méthode est descriptive et analytique en 4 temps (collecte doc, critique externe puis interne du doc et synthèse avec l’établissement d’un fait positif.* Figure c’est Lavisse.* (*Parcours* typique de la formation d’historien)* objectif de réorganiser l’université et que cela se répercute sur le primaire et secondaire. L’histoire ne ce conçoit pas sans* la diffusion auprès des élèves et c’est aussi enseigner la nation (République)*. Mais imp*lantation dans la vie politique et implication *(Dreyfus*) sont des reproches à cette école. L’école des annales. Le XX*e* siècle : de l'histoire « scientifique » à l'histoire « éclatée » [modifier] Au début du XXe siècle, l'histoire a acquis une dimension scientifique incontestée. L'histoire « positive » ou événementielle [modifier] Installée dans le monde de l'enseignement, érudite, la discipline est influencée par une version appauvrie du positivisme d'Auguste Comte. Prétendant à l'objectivité, l'histoire a resserré les limites de son objet : le fait ou l'événement isolé, replacé au centre du travail de l'historien, est alors considéré comme la seule référence répondant correctement à l'impératif d'objectivité. Aussi, cette « histoire événementielle » se borne à établir des relations de