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Introduction
A toute les époques les hommes ont cherché à améliorer leurs performances à l'aide de "potions magiques". Déjà au VIème siècle avant J-C., les athlètes Grecs tentaient d’augmenter leurs capacités physiques en mangeant des viandes différentes en fonction du sport qu’ils pratiquaient. Puis, toutes sortes de plantes qui avaient des vertus stimulantes ont été prises durant l'histoire du sport, comme les feuilles de sauge chez les romains ou la noix de Kola en Afrique. Mais le progrès est arrivé avec la recherche médicale et l'industrie pharmaceutique: aux jeux de 1936, les athlètes allemands, commençaient déjà à utiliser les amphétamines. Le mot dopage, apparu en 1903, est issu du verbe anglais « to dope » qui signifie « prendre un excitant ». Il est défini comme la prise d'excitants et les excitants eux-mêmes. En 1950, on trouve les mots "doper", "doping" et "dopage" avec la définition suivante: se doper, c’est absorber un stimulant ou toute substance modifiant ou exaltant considérablement certaines propriétés du corps avant de se présenter à un examen ou une épreuve sportive. Le dopage s'est développé à mesure que les disciplines sportives devenaient professionnelles. En Europe, trois disciplines sont particulièrement exposées au dopage : le cyclisme, le football et le tennis. Pour stimuler les sportifs, les calmer, pour éliminer la douleur lors d’une blessure, pour augmenter leurs performances, ou même pour supprimer l’angoisse, il existe des pilules, des comprimés, des injections, des vitamines et toutes autres potions dont les effets néfastes, autant immédiats que retardés, sont, en effet, la plupart du temps méconnus ou ignorés dans le cercle des sportifs. L'athlète recherche avec l'absorption de drogues capables d'améliorer le travail musculaire, des avantages correspondant principalement aux nécessités physiques et mentales de la compétition sportive. Néanmoins, l'avantage de la prise d'une substance dopante doit