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INTRODUCTION : généralités sur le service public de la justice
Dans une société civilisée nul ne doit se faire justice à soi-même. La vie en société = rapprochement pouvant aller jusqu'à l'affrontement (conflit) qui apparaît comme une conflit social. Le risque encouru est tellement important que toute société considère la fonction de juger comme une nécessité. Admettre que le plus fort est supérieur au plus faible = désordre. Cette désorganisation = destruction de la société. Responsable de l'ordre public, l'Etat doit rendre la justice. Il doit dire le droit pour trancher les litiges. Les individus peuvent ne pas s’entendre sur le contenu du droit, il est donc indispensable qu’un tiers, un partial, étranger à la cause par aux parties se prononce sur le litige pour que sa décision soit respectée par la partie. C’est aussi un droit pour le justiciable (dont pouvoir compte en tant qu’usager à la mise en place d’un service public.) Les personnes qui participent au fonctionnement des organes = justiciaire.
Section 1 : Les juridictions judiciaires
§1. Description
L’Etat dispose d’un monopole sur la justice. Cette éradiscité l’élargie ® doit rendre la justice dans un délai raisonnable au moyen de décision qui doivent s’imposer entre les parties, sans peine de dénit de justice. L’Etat a confié la gestion du service publique. Le Ministère de la Justice est placé sous la responsabilité du Ministre de la Justice, Gardes des Sceaux. En 2008, le service publique de la justice disposait d’un budget de 6,5 milliard d’euros (remboursement de la dette publique, l’éducation, la santé.) Il y a trois exigences fondamentales qui sont l’égalité, la gratuité et la permanence. L’égalité est inconnu de l’Ancien Regime. En 1790, le législateur indique que tout privilège est aboli en matière de juridiction et y plaideront dans la même forme. Tout plaideur quelque soit son origine va pouvoir plaider en France dans la même condition qu’un Français