Iii le couple face à la société analyse le mariage de figaro
Le comte d’Almaviva menace le couple que forme Figaro, son valet, et sa compagne Suzanne, la servante de la comtesse d’Almaviva : Sous couvert de leur mariage, il leurs offre une chambre, destinée au premier abord à facilité les déplacements des deux domestiques.
(«La nuit, si madame est incommodée, elle sonnera de son coté ; zeste, en deux pas tu es chez elle. Monseigneur veut il quelque chose : il n’a qu’à tinter du sien ; Crac en trois sauts me voila rendue. »)
Mais Suzanne le soupçonne de destiner la chambre à un autre usage, celui de faire valoir son droit de cuissage, normalement aboli.
((…) «, zeste, en deux pas il est a ma porte et crac, en trois saut... »)
Figaro et sa femme sont les servants respectifs du comte et de la comtesse, lesquels ont tous pouvoirs sur eux ; C’est de la que vient la difficulté : Comment se soustraire a quelqu'un qui a tous les pouvoirs ?
Figaro se soulève et décide de tromper le trompeur : Le spectateur est confronté a une métaphore de la révolution Française, ou le peuple est représenté par un valet sournois qui décide d’agir contre le pouvoir, qui est le comte d’Almaviva. (« Attraper ce grand trompeur et le faire tomber dans un bon piège »)
Néanmoins, la situation dans « Le mariage de Figaro » reste moins désespérée que celle de « Bérénice » : l’obstacle à affronté reste minime, et les personnages ont des solutions pour surmonter l’épreuve (ici, la ruse).De plus la pièce est une pièce de comédie, le problème est exposé de façon légère, et les quiproquos et l’humour ont pour but de faire rire le