Intégration et solidarité

On montrera que le travail est au cœur de l’intégration sociale, puis que d’autres formes de solidarités existent

Introduction : Si le travail a de plus en plus été mis en valeur dans les sociétés, il participe aujourd’hui à l’intégration sociale. En effet, le travail est valorisé par la contribution de l’activité humaine à la production de biens et de services.
Notre société, qui est essentiellement portée sur les services, permet donc de placer le travail et l’activité humaine au centre. En développant son activité dans le tertiaire, le travail participe à l’intégration des individus par leurs rapports dans société. L’intégration sociale permet en effet l’insertion des individus dans un groupe par la participation des individus à l’activité sociale. Dans l’ouvrage : De la division du travail, Durkeim cherche à étudier les relations entre les individus et la collectivité. A cela il distingue deux formes de solidarités. Mécanique, dans laquelle les individus se différencient peu les uns des autres car la division du travail est faible, ce qui amène à une conscience collective. Et organique, qui est une solidarité de différenciation où la division du travail est forte. Durkeim, qui considère que la société est unifiée, estime que l’intégration sociale passe par l’intériorisation de la culture de la société, or le travail devient un élément majeur de la culture sociale.
Le travail et l’emploi sont en cela une forme de solidarité puisqu’ils permettent l’intégration d’individus. Le travail d’un individu n’est-il que la seule manière pour lui de s’intégrer dans la société ? Nous verrons que le travail est au cœur de l’intégration sociale, puis mous étudierons les autres formes de solidarité.

Conclusion : La solidarité, ou théorie de l’intégration, cherche à lutter contre l’anomie. En effet ce dérèglement social provient d’une insuffisance de coordination entre les différents organes de la société.