L’intégration Régionale :

Se basant sur le discours de Manuel Brasso président de la communauté européenne à Bruxelles le 28 septembre 2011 et sur l’article rédigé par Paul Krugman « L’émergence des zones régionales de libre-échange : justification économiques et politiques », La synthèse suivante traite principalement l’opinion sur l’intégration régionale et la crise de l’union européenne.
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale jusqu’à 1980, les accords régionaux qui créent des zones de libre-échange se complètent avec les négociations commerciales (GATT), ce qui a mené à l’internationalisation du marché. Tandis que dès l’année 1980, on a remarqué l’extension des blocs commerciaux régionaux (Communauté Européenne, ALENA entre le Mexique, USA et le Canada). L’analyse économique de ces zones de libre-échange a démontré plusieurs point négatifs tels que le détournement des courants d’échange, l’appauvrissement des pays tiers, les guerres commerciales… Prenons le cas de la communauté européenne, dès sa transformation en communauté économique européenne, les échanges entre les pays de la zone ont réduit au lieu d’accroitre l’efficacité économique dans le monde.
L’intégration régionale a donné lieu à une union douanière entre les différents pays membres. Cette union a à la fois des aspects positifs et des aspects négatifs. Concernant les aspects positifs je cite la diminution des déformations de la consommation nationale, l’accroissement de la taille et par conséquent de l’efficacité productive et de la compétitivité des marchés oligopolistiques susceptibles de bénéficier d’économie d’échelle… Les aspects négatifs se manifestent par l’effet d’appauvrissement des pays voisins (car l’union douanière est plus avantageuse pour les membres du bloc, et pour assurer un équilibre économique cette union doit s’accompagner par une baisse du tarif extérieur commun), guerres commerciales…
En effet, une étude a démontré que les échanges ont une forte coloration