je sais pas
L'auteur parle de lui, en nous racontant qu'il avait voyagé jusqu'en Jamaïque, où il avait rendu visite à un ami, blanc, qui possédait des esclaves. Paul Wilmlouth, son ami donc, ne traitait pas ses esclaves comme de vulgaire morceau de viande, et c'est bien pour cela que le narrateur était ami avec celui-ci. En effet, ses esclaves travaillaient peu, n'étaient pas salis psychologiquement ni physiquement par des tortures quelconque affligées aux esclaves des autre foyers. Non, ceux-là vivaient avec de quoi cultiver, de quoi fonder une famille. Leur seule tâche était de travailler deux fois par semaine pour leur maître ce qui, comparer aux autres esclaves n'était rien. Car ces autres esclaves, eux, souffraient, manquaient de nourriture, de respect, et étaient traité comme des moins que rien ce qui fit annoncer une révolte. Ziméo, ou John, car c'est ainsi qu'il s'appelait vraiment, était devenu le chef de cette révolte, et fit abattre tous les maîtres (ou presque) qui infligeaient de mauvais traitements aux esclaves, et brûlait leur maison. C'est alors que l'ami de Wilmouth eu l'idée de faire savoir à Ziméo les bienfaits de son ami envers les esclaves, afin qu'il réalise que tous les blancs nétait pas comme ça. III/ Madame de La Carlière est un conte de Denis Diderot publié dans l'édition Naigeon des oeuvres de