Jollien thèmes traités
-L’amour familial : l’auteur explique qu’il reçoit beaucoup d’amour et de confiance de la part de ses parents. Il se dit malheureux de les quitter le dimanche soir pour aller au centre.
« L’avenir se limitait aux week-end ; nous rentrions alors chez nous pour retrouver nos parents. Pour moi, c’était la joie de vivre deux jours avec maman et papa et mon frère Franck. » Page 26
« Qu’il vive, qu’il vive, n’importe comment pourvu qu’il vive ! On le prendra comme il viendra, mais pourvu qu’il vive ! »Page 22
- La relation avec les éducateurs : l’attitude et les relations avec le personnel du Centre sont, superficielles, « de professionnel à enfant, de médecin à malade ». Il a des mots durs pour décrire l’attitude de certains professionnels : « Dans sa prétendue omniscience, l’éducateur se croyait obligé d’enseigner à mes parents : « l’art d’éduquer ». « Le personnel recourait parfois aux masques de fonction »Page 47
« Ils projetaient des images négatives sur les pensionnaires du Centre. »Page 48
- La relation entre les pensionnaires : « Nous nous aimions simplement, sans artifice. Les liens se tissaient naturellement, consolidés par l’étrangeté de notre condition, par la réalité singulière de notre communauté. »Page 27
« Mes camarades m’ont élevé. Ils ont contribué à me révéler la grandeur humaine, non par des actes isolés mais par leur être même. »Page 39
Une très grande solidarité existe entre les pensionnaires, ils se félicitent de leurs progrès. Leurs relations contribuent pour beaucoup à l’apprentissage du dur « métier d’homme ».
- La Volonté, la détermination de l’auteur : L’auteur souhaite pouvoir marcher, et manger seul, il veut être autonome et ne plus être dépendant. « Une myriade d’exercices : je m’entrainais à m’asseoir correctement…..J’essayais enfin quotidiennement d’améliorer mon résultat du mille mètres à quatre pattes. » Page 23
- Le regard des gens « normaux » sur les handicapés de centre : Dans le